Se passer du pétrole, du nucléaire et du gaz de schistes... pour recycler ses épluchures...

Cela reste le but premier de l'expérience mais, en cours de route, nous avons découvert quelques merveilles, rencontré du monde, affuté notre curiosité...
Le premier prototype en bois nous avait été confié pour essai par la Régie de Quartier Villeneuve Village Olympique de Grenoble en décembre 2008. Ce prototype a entamé (août 2010) une métamorphose, avec des matériaux moins rustiques mais plus légers, voir ci dessous ... Le 5 avril 2010, nous avions mis en service un 2ième vermicomposteur du commerce qui a rejoint le premier sur le balcon orienté au sud et abrité du vent.
Même le gel de février 2012 ne semble pas avoir affecté le gros lombricomposteur recouvert de cartons et d'un duvet ... Le "petit" nous l'avions rentré quand le thermomètre a commencé à descendre...

17 oct. 2009

Remplacement des vis


Deux des casiers étaient devenus inutilisables, les vis semblaient s'être arrachées. En fait elles avaient plutôt cédé : elles sont comme cassées au bout, sans doute par l'oxydation. Notre bricoleur assermenté les a remplacées par des vis un peu plus longues et nous allons pouvoir remettre en service les deux casiers.

7 oct. 2009

Toujours pas d'envolée de mouches...

Pourtant les "asticots" géants prolifèrent. En périphérie il y a toujours des vers de terre... Pas plus, pas moins. Les déchets noircissent à grande vitesse et sans odeur. Par contre les tortillons de vers, je ne sais toujours pas ce que c'est...
Un truc pour limiter les moucherons sur le chemin du lombricomposteur : mettre les déchets dans un sac en papier fermé.
Disparition presque complète des psychodides également.
C'est peut-être en rapport avec la saison même si l'automne est particulièrement doux, surtout sur un balcon au Sud.