Se passer du pétrole, du nucléaire et du gaz de schistes... pour recycler ses épluchures...

Cela reste le but premier de l'expérience mais, en cours de route, nous avons découvert quelques merveilles, rencontré du monde, affuté notre curiosité...
Le premier prototype en bois nous avait été confié pour essai par la Régie de Quartier Villeneuve Village Olympique de Grenoble en décembre 2008. Ce prototype a entamé (août 2010) une métamorphose, avec des matériaux moins rustiques mais plus légers, voir ci dessous ... Le 5 avril 2010, nous avions mis en service un 2ième vermicomposteur du commerce qui a rejoint le premier sur le balcon orienté au sud et abrité du vent.
Même le gel de février 2012 ne semble pas avoir affecté le gros lombricomposteur recouvert de cartons et d'un duvet ... Le "petit" nous l'avions rentré quand le thermomètre a commencé à descendre...

9 mars 2011

Avant le printemps

Avant ? Pas si sûr. Sur le balcon le pêcher est en fleur ! Quoiqu'il en soit cela fait plus d'une semaine que j'ai sorti le prototype à géométrie variable et j'en ai profité pour enlever tout ce qui restait en bois et grillages (défoncés), à part le cadre à roulettes... La bassine noire du dessous est pleine d'un compost grossier et un peu trop humide avec des coquilles de noix qui certes ne sont pas décomposées mais sont devenues si fines qu'elle s'écrase entre les doigts comme des cacahuètes ! Il y reste quelques vers de terre. Je mélange ça (1/3) avec de la terre de taupinière (2/3) pour les plantations nouvelles et je mets ça en surface pour les vieilles plantes qui vont plutôt mieux qu'avant... mais surtout je n'envisage plus d'acheter de terreau.
Bien sûr, dans le composteur, ça grouille de vers et malgré les nuits fraîches le casier supérieur est chaud ! Je recycle aussi les déchets végétaux (vive le sécateur) de mon micro jardin : tout ça de moins dans la poubelle.

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