Se passer du pétrole, du nucléaire et du gaz de schistes... pour recycler ses épluchures...

Cela reste le but premier de l'expérience mais, en cours de route, nous avons découvert quelques merveilles, rencontré du monde, affuté notre curiosité...
Le premier prototype en bois nous avait été confié pour essai par la Régie de Quartier Villeneuve Village Olympique de Grenoble en décembre 2008. Ce prototype a entamé (août 2010) une métamorphose, avec des matériaux moins rustiques mais plus légers, voir ci dessous ... Le 5 avril 2010, nous avions mis en service un 2ième vermicomposteur du commerce qui a rejoint le premier sur le balcon orienté au sud et abrité du vent.
Même le gel de février 2012 ne semble pas avoir affecté le gros lombricomposteur recouvert de cartons et d'un duvet ... Le "petit" nous l'avions rentré quand le thermomètre a commencé à descendre...

31 août 2012

Récolte du jour

Dans le prototype, à la cuillère à soupe j'ai récolté le dessus des deux bacs inférieurs, du compost comme dans les livres tout fin et granuleux et avec presque plus de vers, alors qu'ailleurs ou en dessous ça grouille encore. Un seau et 2 l de jus. Pas de mouches ou de vers hermetica illucens, cette année... Ni de moucherons ! Quand à l'odeur? On pourrait dire si discrète et agréable, qu'on n'y pense même pas. Dans le modèle lombricethic, il y a proportionnellement toujours plus de jus, et j'y ai fait une petite récolte de compost aussi... Nous donnons moins de matière aux lombrics, puisqu'il y a un compost au jardin... Par exemple si je fais du melon pour 80 (si, si ça arrive !) j'emmène les épluchures au jardin... Les lombrics ne s'en portent pas plus mal semble-t-il. De même les vacances leur semblent profitables. En tout cas ils ne semblent pas avoir souffert de la canicule, ni de notre absence ! J'avais juste pris la précaution de mettre une bonne couverture de carton et journaux.

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