Se passer du pétrole, du nucléaire et du gaz de schistes... pour recycler ses épluchures...

Cela reste le but premier de l'expérience mais, en cours de route, nous avons découvert quelques merveilles, rencontré du monde, affuté notre curiosité...
Le premier prototype en bois nous avait été confié pour essai par la Régie de Quartier Villeneuve Village Olympique de Grenoble en décembre 2008. Ce prototype a entamé (août 2010) une métamorphose, avec des matériaux moins rustiques mais plus légers, voir ci dessous ... Le 5 avril 2010, nous avions mis en service un 2ième vermicomposteur du commerce qui a rejoint le premier sur le balcon orienté au sud et abrité du vent.
Même le gel de février 2012 ne semble pas avoir affecté le gros lombricomposteur recouvert de cartons et d'un duvet ... Le "petit" nous l'avions rentré quand le thermomètre a commencé à descendre...

19 févr. 2009

Encore des lombrics...

Le 13 février, j'ai rajouté encore une petite centaine de lombrics, que m'a offerte Hervé Doulat dans le cadre de sa bourse aux lombrics gratuits. Merci à lui !
Ceux-là viennent directement d'un lombricomposteur familial en service à Seyssinet (38). Le propriétaire dit qu'il faut vraiment 6 mois pour que ça roule. J'ai regardé ce qu'ils mettent dedans : de gros morceaux quand même... et le lombricomposteur, s'il a passé 2 mois au chaud, a déjà pris ses quartiers d'été sur la terrasse...
Quand à nous, nous avons abandonné les lombrics 5 jours... Au retour, ça sentait fort même si ça ne sentait pas "mauvais". Rien à voir avec du pipi de chat par exemple ! Faut dire que l'appartement était chauffé... Sans alimentation et un peu tranquilles peut-être, il y avait pas mal de lombrics en surface et pas mal d'humidité en haut du composteur... Nous avons donc repris l'alimentation.
Le bac inférieur ne sert pour l'instant qu'à récupérer les fugueurs, plutôt morts que vifs d'ailleurs. Il est toujours sec.

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