Se passer du pétrole, du nucléaire et du gaz de schistes... pour recycler ses épluchures...

Cela reste le but premier de l'expérience mais, en cours de route, nous avons découvert quelques merveilles, rencontré du monde, affuté notre curiosité...
Le premier prototype en bois nous avait été confié pour essai par la Régie de Quartier Villeneuve Village Olympique de Grenoble en décembre 2008. Ce prototype a entamé (août 2010) une métamorphose, avec des matériaux moins rustiques mais plus légers, voir ci dessous ... Le 5 avril 2010, nous avions mis en service un 2ième vermicomposteur du commerce qui a rejoint le premier sur le balcon orienté au sud et abrité du vent.
Même le gel de février 2012 ne semble pas avoir affecté le gros lombricomposteur recouvert de cartons et d'un duvet ... Le "petit" nous l'avions rentré quand le thermomètre a commencé à descendre...

19 mai 2009

Des vers, enfin ! Et un nouveau chapeau...


Pas si nouveau le chapeau puisqu'il s'agit du récipient du dessous qui depuis décembre n'a pas vu une goutte de liquide... Alors comme le couvercle (dont on voit les morceaux en bas à gauche, en 6 morceaux gondolés d'humidité) était devenu l'ami des moucherons, je l'ai remplacé... C'est aussi plus facile à ouvrir et refermer qu'un puzzle.
Pour les moucherons, vous voyez aussi le papier collant à mouches suspendu au dessus. Ce n'est pas très décoratif mais... il est maintenant possible d'aller sur le balcon sans trop en avaler...
Vous pouvez voir aussi les reprises au scotch sur certains angles (pas encore pour faire tenir le bois mais pour faire barrage aux petites bêtes).
Et, en ce qui concerne les vers, ça commence vraiment à grouiller !
J'ai mis souvent du papier ou du carton ou du bois fragmenté dans le composteur ces derniers temps et l'humidité est vraiment beaucoup plus grande qu'au début de l'expérimentation. C'est encore plus net avec le couvercle en plastique.
Pour ce qui se passe dans les étages inférieurs : je m'en occupe un autre jour.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire