Se passer du pétrole, du nucléaire et du gaz de schistes... pour recycler ses épluchures...

Cela reste le but premier de l'expérience mais, en cours de route, nous avons découvert quelques merveilles, rencontré du monde, affuté notre curiosité...
Le premier prototype en bois nous avait été confié pour essai par la Régie de Quartier Villeneuve Village Olympique de Grenoble en décembre 2008. Ce prototype a entamé (août 2010) une métamorphose, avec des matériaux moins rustiques mais plus légers, voir ci dessous ... Le 5 avril 2010, nous avions mis en service un 2ième vermicomposteur du commerce qui a rejoint le premier sur le balcon orienté au sud et abrité du vent.
Même le gel de février 2012 ne semble pas avoir affecté le gros lombricomposteur recouvert de cartons et d'un duvet ... Le "petit" nous l'avions rentré quand le thermomètre a commencé à descendre...

13 avr. 2010

Moi les coquilles...

.... Je les pile. C'est bon pour les nerfs. C'est bon pour l'équilibre du composteur. Peut-être, aussi,  que comme on le dit dans les livres les lombrics peuvent les ingérer et que ça les aide à digérer... Non, non,  je n'ai  pas des poules sur mon balcon ni dans mon bureau...
Quand à ce qui me sert de mortier aujourd'hui, ce n'est pas ce qui est le mieux. La forme est presque parfaite mais un vrai mortier ne doit pas être lisse. Le bois est idéal, sinon, comme je l'ai appris au Musée Gallo-Romain d'Aoste (38), avant de les cuire, les potiers remplissent les mortiers de sable pour que le fond reste rugueux.

2 commentaires:

  1. A nouveau je récupère les coquilles d'oeufs.
    Suivant tes conseils, je les fais sécher avant de les piler.
    J'ai lu que le sable était bon pour leur "gésier" !!?
    Tu confirmes ?

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  2. Sans doute. Dans "les vers mangent mes déchets", Mary Appelhof dit que ça répartit mieux le carbonate de calcium. Elle, elle se sert du rouleau à pâtisserie. Elle dit aussi qu'une fois elle a retrouvé 50 vers dans une coquille...

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