Se passer du pétrole, du nucléaire et du gaz de schistes... pour recycler ses épluchures...
Cela reste le but premier de l'expérience mais, en cours de route, nous avons découvert quelques merveilles, rencontré du monde, affuté notre curiosité...
Le premier prototype en bois nous avait été confié pour essai par la Régie de Quartier Villeneuve Village Olympique de Grenoble en décembre 2008. Ce prototype a entamé (août 2010) une métamorphose, avec des matériaux moins rustiques mais plus légers, voir ci dessous ... Le 5 avril 2010, nous avions mis en service un 2ième vermicomposteur du commerce qui a rejoint le premier sur le balcon orienté au sud et abrité du vent.
Même le gel de février 2012 ne semble pas avoir affecté le gros lombricomposteur recouvert de cartons et d'un duvet ... Le "petit" nous l'avions rentré quand le thermomètre a commencé à descendre...
Le premier prototype en bois nous avait été confié pour essai par la Régie de Quartier Villeneuve Village Olympique de Grenoble en décembre 2008. Ce prototype a entamé (août 2010) une métamorphose, avec des matériaux moins rustiques mais plus légers, voir ci dessous ... Le 5 avril 2010, nous avions mis en service un 2ième vermicomposteur du commerce qui a rejoint le premier sur le balcon orienté au sud et abrité du vent.
Même le gel de février 2012 ne semble pas avoir affecté le gros lombricomposteur recouvert de cartons et d'un duvet ... Le "petit" nous l'avions rentré quand le thermomètre a commencé à descendre...
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18 janv. 2009
Le premier bac est bientôt plein
Notre "production" d'épluchures, marc de café, doit avoisiner les 500 g par jour... surtout quand il y a les fanes de carottes. On y met aussi le zeste des noix (le croisillon tendre que l'on appelle aussi meille sur le balcon de Belledonne) et, peut-être trop peu souvent, un peu de papier journal ou ce jour, 2 tubes en carton (rouleaux de pq) en petits morceaux.
L'odeur est celle d'un humus de forêt... que l'on perçoit quand on rentre dans la pièce. Les visiteurs trouvent que ça sent bon. Les habitants aussi.
Le mélange paraît chaud. Quand on soulève les journaux qui servent de couverture, on voit souvent 2 ou 3 lombrics en surface. Il y a toujours cette humidité sur le dessus... et les plantules qui étaient apparues ont été anéantis par les dépôts successifs. Il n'y a plus de moisi. Le bac en plastique reste sec. Le casier en service (10 cm de profondeur) est quasiment plein. Celui qui était au dessous toujours sec et vide.
Mais il y a encore des évasions suicides : une dizaine cette semaine, notamment après une répétition avec un violon dans la pièce... La prochaine fois on se servira peut-être des roulettes (avantage du prototype) pour mettre les lombrics à l'abri. Qu'en pensez vous ?
L'odeur est celle d'un humus de forêt... que l'on perçoit quand on rentre dans la pièce. Les visiteurs trouvent que ça sent bon. Les habitants aussi.
Le mélange paraît chaud. Quand on soulève les journaux qui servent de couverture, on voit souvent 2 ou 3 lombrics en surface. Il y a toujours cette humidité sur le dessus... et les plantules qui étaient apparues ont été anéantis par les dépôts successifs. Il n'y a plus de moisi. Le bac en plastique reste sec. Le casier en service (10 cm de profondeur) est quasiment plein. Celui qui était au dessous toujours sec et vide.
Mais il y a encore des évasions suicides : une dizaine cette semaine, notamment après une répétition avec un violon dans la pièce... La prochaine fois on se servira peut-être des roulettes (avantage du prototype) pour mettre les lombrics à l'abri. Qu'en pensez vous ?
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